Samedi dernier, nous parcourûmes 13 sites de Montpellier (hôtels particuliers et faculté de médecine) dans le cadre du Festival des Architectures Vives. Nous rejoignâmes ensuite la Marche des Fiertés (diversités) pour accompagner la Pride pendant une petite heure à travers les rues de l’Écusson.
La chaleur est déjà au rendez-vous ce lundi matin. Une légère brise du nord souffle, mais ne rafraîchit pas l’atmosphère. Quand j’entends à la radio qu’il fait 5°C dans un département du nord de la France 🙂
Ce mardi matin, le ciel est bien bleu. Le léger voile blanc qui l’entachait les jours passés s’est dissipé. Sous le vieux pont de Sauve, d’où cette photo a été prise, le Vidourle s’écoule tranquillement
Le footing de ce mercredi s’est fait sur terrain assez plat (environ 130 m de dénivelé sur 13 kilomètres), ce que je privilégie pour mes sorties une fois par mois. Après avoir traversé les terres grises (et leur sol marneux), j’ai continué ma boucle rive droite, puis rive gauche du Vidourle.
La fin de semaine est annoncée caniculaire. Ce jeudi matin, le Vidourle ne semble pas se soucier de la folie humaine qui s’abat sur le monde. Ses bordures arborées sont même un refuge à la chaleur.#
Il fait autour de 36°C à l’instant où j’écris ce texte. Plus tôt ce vendredi, en bord du Vidourle, il était bon de profiter de l’air plus frais (autour de 22°C) du petit matin. L’été j’aime me lever autour de cinq heures – j’ai la chance de pouvoir faire une courte sieste à la mi-journée – pour profiter du calme et du frais, l’occasion d’ouvrir les fenêtres en grand pour faire entrer l’air qui nous rendra la journée plus supportable derrière les volets mi-fermés.
#VendrediLecture
J’ai terminé le livre de Florence Seyvos, Un perdant magnifique. Je ne savais pas du tout à quoi m’attendre et je dois dire que l’écriture de l’autrice m’a conquis. Ma note de lecture est ici sur BookWyrm.
J’ai commencé de lire Les Vilaines de Camila Sosa Villada. En parallèle à cette lecture, je lis toujours Gouines, un recueil de textes de plusieurs autrices, coordonné par Marie Kirschen et Maëlle Le Corre et avec également les écrits d’Amandine Agić, Meryem Alqamar, No Anger, Noémie Grunenwald et Erika Nomeni.
