
Samedi et dimanche derniers s’ouvrait le 36e parcours d’ateliers d’artistes de Montpellier : les Briscarts. Nous avons été faire un tour à l’exposition « Chimères », espace Saint-Ravy, où l’on pouvait découvrir une œuvre de chacun des artistes qui ouvrait son atelier au public pendant ces deux jours d’exposition.
Dimanche dernier, la pluie était de retour dans le Gard.
Petite accalmie météo ce lundi matin. L’herbe a bien poussé dans le lit du Vidourle, tout comme dans les jardins. Ces derniers jours, les acacias sont en fleur. Je remarque à quel point ils sont nombreux par ici. Malheureusement, la plupart de ces arbres se trouvent en bord de route, ce qui décourage d’en goûter les fleurs. Pour rappel, il est fortement déconseillé de consommer les fruits et fleurs des végétaux situés en bordure de voies de circulation, en raison de leur exposition à la pollution.
Que de plaisir de voir le ciel bleu ce mardi matin. Malheureusement, les prévisions météo annoncent un retour de la grisaille dans l’après-midi.
Ce mercredi matin, petite sortie d’une douzaine de kilomètres dans le massif de Coutach. Lorsque les nuages laissaient place au soleil, celui-ci était bien agréable à sentir sur la peau. La nature était paisible, et la flore printanière offrait quelques beaux tapis de fleurs sur la roche calcaire du massif.
Journée la plus belle de la semaine. Ce jeudi, nous mangeâmes un morceau à Mèze, charmante petite ville qui fait face à Sète sur l’étang de Thau. Ambiance de marché sympathique mais vite entachée par une atmosphère de fête (pour le corso) bien alcoolisée.
L’après-midi nous nous baladâmes sur les étangs (et anciens salins) des Aresquiers, sur les communes de Vic-la-Gardiole et Frontignan. Nous y croisâmes Échasses blanches, Foulques macroule, Tadornes de Belon, deux magnifiques Cygnes tuberculés et, évidemment, moult Flamands roses.
#VendrediLecture
Toujours dans ma lecture du (Le) pays des autres de Leïla Slimani. Si mes premières impressions n’étaient pas bonnes, mon sentiment évolue et je pense qu’il en sortira une impression assez mitigée.
En parallèle de ce livre j’ai commencé, dans un tout autre registre, le Manifeste d’une femme trans et autres textes, de Julia Serano.