Chroniques du Gard #12

Dans ma chronique n°10, j’évoquais l’ouverture (jusqu’au 1er juin) du festival des Boutographies. Ce samedi nous sommes allés voir les deux expositions de l’hôtel (particulier) d’Aurès :


Ce lundi matin, un vent du nord assez fort rend difficile l’allée de mon trajet à vélo. Sur le trajet de mon retour, en bord du Vidourle, je suis bien moins exposé au mistral (bien que j’ai un doute sur l’identification du vent qui souffle ce jour du nord).


Ce mardi matin, je m’arrête pour prendre un cliché de quelques vaches qui paissent dans un champ non loin du massif. Ce n’est pas tous les jours que l’on peut photographier des vaches (hors races de Camargue) au pied du Coutach, bien que, depuis quelques années, des éleveurs se soient installés dans le coin.


Point de photo de ma sortie de ce mercredi matin (les fractionnés se font dans la plaine). En échange, une photo prise depuis le vieux pont du village. Jour du marché, ambiance printanière avec une belle montée des températures, les gens emplissaient les rues et les terrasses des cafés. Dommage, la mairie refuse sa terrasse à la jeune Asso du Pont qui a récemment pris possession d’un des plus bel emplacement de la ville. Espérons que le maire recouvre prochainement raison et laisse s’épanouir pleinement ce tiers-lieu.

Ce jeudi matin, nous étions loin d’être les seuls à venir profiter de la Méditerranée. Par contre, nous étions beaucoup moins nombreux à nous baigner dans une eau à 16/17°C. Il y a deux semaines à peine, ma compagne avait profité d’une eau à 20°C, mais le vent du nord, soufflant depuis plusieurs jours, a considérablement fait chuter la température de l’eau. Bain frisquet donc.


Ce vendredi, je profite du calme matinal de mon jardin, dont la quiétude est un peu gâtée par ce triste et alarmant constat : l’absence des butineurs prend de plus en plus de place dans mon environnement quotidien. J’observais notamment cette semaine que le laurier en fleur est désespérément dépeuplé de vie animale. Normalement, un vrombissement quasi assourdissant provenait de ses multiples ramures : guêpes, abeilles et autres butineurs s’en donnaient à cœur joie. Cette année, ce n’est pas une diminution, mais une totale désertion des insectes. Évidemment, je ne peux que penser à l’actualité politique et à la volonté de réintroduire un certain pesticide dans l’environnement agricole.

J’ai terminé deux livres cette semaine, deux bouquins bien différents dont je ne tarirais pas d’éloge.

Ces livres rangés, j’ai commencé la lecture du célèbre Orlando de Virginia Woolf.

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