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Chroniques du Gard #21

Un oiseau posé sur le bord d'une petite cascade sur un cours d'eau. Un arbre sur la gauche. Au-dessus de l'eau, des brumes de vapeurs. L'eau au premier plan semble sans mouvement, tandis qu'après la cascade le cours d'eau se transforme en torrent. Sur la droite le numéro de la chronique précédé d'un dièse.

Ce dernier lundi, la tramontane soufflait fort. Point de répit du vent depuis la veille. La luminosité a baissé, les températures ont chuté et nous pourrions nous croire fin septembre tant la météo a brusquement changé.


Petit passage par Montpellier ce mardi matin. La température est bien agréable, le soleil commence à darder la peau de ses rayons et je rejoins à pied le quartier du Millénaire depuis la gare. La ville se réveille tranquillement alors qu’il était déjà plus de 9h sur les rives du Lez.


Ce mercredi matin j’ai été courir sur les crêtes, entre Corconne (dans le Gard) et Claret (Hérault). Le soleil jouait parfois à cache-cache derrière les nuages, ce qui était bien agréable. De ces crêtes aux sommets parfois marneux, on domine la vallée qui s’étale au pied des Cévennes.


Le vent est tombé. Ce jeudi matin, le ciel est bleu et la journée s’annonce fort belle. Je pose le vélo le temps de capturer cet instant au bord du Vidourle.


Ce vendredi matin, le Vidourle coule très paisiblement. Point de pluie annoncée et des températures en hausse en ce début août.

En parallèle au volumineux et riche Manuscrit trouvé à Saragosse, de Jan Potocki, je continue tranquillement la lecture du substantiel Eichmann à Jérusalem, d’Hannah Arendt.

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