
Ce lundi, je voulais photographier les eaux boueuses du Vidourle. Finalement, le ciel sortira grand vainqueur de cette image.

Les journées raccourcissent et je dois désormais enfiler un gilet fluo pour sécuriser mon trajet à vélo du matin. La lumière matinale sied toujours bien au Vidourle.

Petite boucle d’une douzaine de kilomètres dans le massif de Coutach ce mercredi matin, sous un beau ciel bleu. J’ai aperçu au loin ce qui m’a semblé être un groupe de guêpiers d’Europe (sans certitude aucune). Nous en avions vu une bonne trentaine dimanche dernier, lors d’une promenade non loin de là.

Temps bien gris et pluie fine ce jeudi matin. Les rives du Vidourle sont fort tranquilles et je réussis à passer discrètement sans déranger les cinq ou six aigrettes qui s’étaient regroupées dans le lit du fleuve.

Grand ciel bleu ce vendredi matin. Après être passé devant le collège, où, étrange ambiance, un groupe d’une dizaine de gendarmes discutaient devant l’entrée (le chien présent avec eux me fait soupçonner une opération anti-drogue), je file vers les rives du Vidourle, où l’atmosphère était fort heureusement toute autre.
#VendrediLecture (de rattrapage)
Alors d’excellents livres terminés en ce mois d’août dont chaque titre vous mènera vers une petite note de lecture sur BookWyrm :
Eichmann à Jérusalem, d’Hannah Arendt et le Manuscrit trouvé à Saragosse (dans sa version de 1810), de Jan Potocki.
Ce mois-ci, j’ai terminé Babel 17 par Samuel R. Delany. Pour celui-ci (et c’est assez rare), mon avis est assez tranché : je n’ai pas du tout aimé. Les explications sont ici.
Fascination naissante pour l’auteur Jan Potocki, j’enchaîne donc en me plongeant (lecture parallèle) de ses récits de Voyages (aux éditions Flammarion).
Dans un autre registre littéraire, j’ai également commencé la lecture du désormais célèbre (livre de rentrée) Baignades, de la romancière québécoise Andrée A. Michaud. Ce passage par le roman noir est plutôt exceptionnel me concernant, mais j’ai lu beaucoup de propos élogieux à son sujet, et cela a attisé ma curiosité.