
La pluie, enfin ! J’ai profité d’une accalmie, ce lundi matin, pour faire ma boucle quotidienne à vélo. Le Vidourle n’a guère profité de ces quelques (≃ 9 mn) de pluie, mais c’est toujours ça de gagner en cet automne particulièrement sec.

Ce mardi matin, le ciel se dégage déjà. Malheureusement, et ce malgré les prévisions, la pluie n’aura guère duré.



Ce mercredi matin, je suis parti courir dans la brume. Le ciel s’est peu à peu dégagé, mais de temps en temps un léger brouillard s’entêtait à lécher le paysage. Le champ de grenadiers que j’ai longé était paré de magnifiques couleurs automnales.

Ce vendredi matin, les rives du Vidourle sont particulièrement teintées de couleurs automnales. Les fortes rafales de vent ont favorisé la chute des feuilles. La vingtaine de millimètres de pluie (depuis dimanche dernier) n’aura pas été à la hauteur de cette semaine de grisaille.

En rentrant à la maison, j’ai constaté avec tristesse la chute du nid de guêpes avec lequel je cohabitais depuis plusieurs semaines. J’ignore la cause de sa chute, mais il était à l’abri de la pluie et du vent. Pour le moment, les insectes sont encore perturbés et j’espère que la ou les reines avaient déjà quitté le nid pour se mettre à l’abri pour l’hiver.
#VendrediLecture
Cette semaine j’ai commencé la lecture d’un livre bouleversant, toujours en lice pour le Goncourt et pour le prix Femina 2025. La nuit au cœur, de Nathacha Appanah, nous plonge dans l’existence de trois femmes victimes de violences conjugales : Chahinez Daoud, Emma et Nathacha, l’autrice, la seule des trois qui survivra à son conjoint.
En parallèle (respiration), je continue tout tranquillement ma lecture des récits de Voyages de Jan Potocki.