
Espace Saint-Ravy (à Montpellier); nous allions samedi dernier découvrir le cru artistique de la 37e édition des Briscarts. L’événement se déroule sur trois jours seulement. Sur le thème du Végétal, les artistes présentaient une œuvre à la galerie Saint-Ravy et ouvraient en parallèle leur atelier aux visiteurs. J’y ai trouvé la photographie d’Ananda, que je connais depuis notre enfance et que je ne croise que de temps à autre désormais.


Lien vers la carte : https://osm.org/go/xVy3OE9h–
Le bras mort du Vidourle. Mort parce que bien souvent l’eau ne s’y écoule pas. Le bras renaît avec la pluie lorsque cette branche du fleuve se (re)déploie pour faire jonction avec le lit principal quelques centaines de mètres plus loin, en amont et en aval. Ce lundi matin, le ciel était d’un beau bleu au-dessus de ce qui pourrait sembler être une simple retenue d’eau.

Ce mardi matin j’ai encore eu droit à un magnifique soleil levant. D’est en ouest, pendant quelques minutes seulement, le ciel nous offre ce beau cadeau.
Alors l’Occident est-il réellement « judéo-chrétien » ? Une remise à plat des choses avec l’historienne Sophie Bessis dans l’une des meilleures émissions des Idées Larges – présentée sur Arte par Laura Raim – qui m’ait été donné l’occasion de voir.
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Ce mercredi je suis parti courir sous la pluie, à la frontale, pour un itinéraire que je ne suivrai finalement pas. Par deux fois j’ai dû changer de chemin. La première parce qu’un ru, le plus souvent à sec, était devenu rivière, la seconde parce que le passage à gué que je voulais emprunter pour traverser le Vidourle n’était plus praticable.


Ce même mercredi, sur Montpellier, plus tard dans la matinée, le temps s’est dégagé et en quelques heures nous avions l’impression d’être un tout autre jour tant le changement était radical.


Après une soixantaine de millimètres d’eau, le Vidourle est en forme ce jeudi matin. Comme chaque fois que la température baisse, une légère brume s’élève ici et là au-dessus du cours d’eau.


Pleine lune ce vendredi matin. Super lune même, selon l’éphéméride. La lune n’est qu’à 363 932 km de nous. L’œil averti pourra l’apercevoir légèrement sur la gauche, dans les feuillages, à proximité du tronc d’un arbre.
Je suis toujours dans ma lecture d’Un livre de martyrs américains, de l’écrivaine Joyce Carol Oates. Le talent de l’autrice est indéniable, ne serait-ce que dans son art de vous emporter dans l’histoire qu’elle vous propose.
J’ai (enfin !) terminé ma lecture de White, de Bret Easton Ellis. Un naufrage dont j’ai fait une courte note de lecture par ici sur BookWyrm.
Je commence deux livres en parallèle de ma lecture principale. Tout d’abord, à un rythme qui sera très lent en raison de sa difficulté d’accès – à laquelle s’ajoute le vieux françois – les célèbres Essais de Montaigne ; avec le livre I aux éditions Flammarion. C’est un bouquin que j’avais déjà bien parcouru dans ma courte vie d’étudiant. Dans un autre registre, mais non moins intéressant, j’ai aussi attaqué Femmes du Maghreb : l’enjeu de Souhayr Belhassen et Sophie Bessis (dont j’ai posté ci-dessus un entretien).