Ce lundi matin, le soleil est au rendez-vous. Le sol est encore bien humide après la pluie de ce week-end et les feuilles mortes jonchent le chemin qui borde le Vidourle sur sa rive gauche.
Ce mardi matin, la baisse de température (sous les 7°C) est perceptible : une légère brume flotte au-dessus des eaux du Vidourle.
Ce mercredi matin, je suis parti courir sur la crête qui relie le massif de Coutach à l’Hortus, entre Gard et Hérault donc. Face à moi, le Pic Saint-Loup, la tête dans les nuages. Temps bien couvert mais pas encore de pluie (prévue demain).
Pas encore de pluie ce jeudi au petit matin. Il serait temps que nous ayons un peu d’eau, la saison avance et le Vidourle a encore des allures estivales. De fortes pluies sont annoncées dans l’après-midi mais ne devraient pas durer bien longtemps.
Selon la station de Quissac, il a plu 25 mm d’eau ces dernières 24 heures. Ce vendredi matin, le Vidourle a retrouvé un peu de sa force. Parti sous une fine pluie, je suis rentré avec un ciel plus dégagé. La journée s’annonce plutôt ensoleillée.
#VendrediLecture
J’ai terminé deux excellents – et bien différents – livres : le tout récent prix Femina La nuit au cœur, de Nathacha Appanah, dont ma note de lecture est ici lisible ; et Voyages de Jan Potocki, dont ma petite critique est aussi lisible sur BookWyrm.
Cette semaine je commence La mélancolie de la résistance, du récent Prix Nobel de Littérature László Krasznahorkai. Sa lecture est éprouvante avec un flux d’écriture ininterrompu, sans pause. Dans un tout autre registre, et comme à mon habitude parallèlement à ma lecture principale, j’ai aussi commencé une lecture de White de Bret Easton Ellis. Je cherchais une critique de l’Amérique trumpiste mais, pour l’heure, l’auteur parle surtout de lui-même 🙂
