
Lundi dernier, sur la route du Gard. Pic Saint-Loup et Hortus, majestueux, dans la lumière du jour finissant.

Ce mardi matin, la température grimpe rapidement. 30°C sont annoncés dans la journée. Le ciel est bleu sur le Vidourle et les oiseaux bavardent en profitant des heures les moins chaudes. Beaucoup de monde courait ce matin sur la voie verte, en groupe ou en solo.



Ce mercredi matin, je débute ma sortie à 7h00. Il fait 17°C (ce sera 25°C à mon retour, deux heures plus tard). Je rejoins Corconne par la plaine pour grimper ensuite dans le massif via la belle ouverture karstique qui abrite le Pont du Hasard. Le plateau atteint, je peux rejoindre les hauteurs de Coutach, dont la Moutette, où je constate qu’une forte brume s’est installée sur le piémont cévenol. Nulle possibilité de voir les Cévennes, qui pourtant ne sont guère loin à vol d’oiseau. De ce que j’ai lu, cette pollution serait causée par d’importants incendies canadiens.

Ce jeudi matin, le ciel est encore bien couvert. La brume de la veille a cédé la place aux nuages. Si la température a atteint les 35 °C la veille, il devrait faire moins chaud ce jour. Le niveau du Vidourle a considérablement baissé, ce qui n’a rien d’anormal puisqu’il reflète très rapidement la pluviométrie des jours passés.

Le Vidourle sous un ciel dégagé ce vendredi, au petit matin. Nous approchons de l’été calendaire, et ce bien que le printemps soit encore très instable. Des orages sont d’ailleurs annoncés ce prochain dimanche.
#VendrediLecture
Il paraît qu’il y a des camps de vagabonds un peu partout dans le pays, des camps itinérants, comme on les appelle. Et que si on marche assez longtemps en restant aux aguets, on trouve des tas de vieux diplômés de Harvard sur les rails entre ici et Los Angeles. La plupart d’entre eux sont recherchés dans les villes. Je suppose qu’ils survivent. Ils ne sont pas nombreux, et je pense que le gouvernement ne les a jamais considérés comme suffisamment dangereux pour motiver des poursuites.
Fahrenheit 451 (publié en 1953), de Ray Bradbury
Je viens de terminer l’excellent Fahrenheit 451, de Ray Bradbury. Cet incroyable comme ce livre est d’actualité, 70 ans après son écriture. Ma note de lecture est par ici sur BookWyrm. Je débute à peine la lecture d’Un perdant magnifique de Florence Seyvos.
En parallèle, je lis Gouines, un recueil de textes de plusieurs autrices, coordonné par Marie Kirschen et Maëlle Le Corre et avec également les écrits d’Amandine Agić, Meryem Alqamar, No Anger, Noémie Grunenwald et Erika Nomeni.