Chronique Buissonnière du mois d’avril

Dimanche dernier, en Lozère. Le lac du Rachas semble encore porter ses habits hivernaux. En Haute-Loire, nous apercevrons d’ailleurs un peu de neige le long de la route.

Arrivée dans la Loire, nous en profiterons pour faire une petite balade dans un paysage où le vert domine largement.


Dans le Pilat, au-dessus de la Jasserie, le paysage semble encore plonger dans l’hiver. Seules les jonquilles qui jonchent les pâturages nous rappellent que le printemps est bien arrivé.


Mardi, nous visitâmes trois expositions temporaires du musée des Confluences, à Lyon. Nous prîmes plus de temps pour la première, extrêmement riche en lectures, en visionnages et en œuvres, « Le temps d’un rêve » (du 18 octobre 2024 au 24 août 2025).


Ce mercredi matin, nous marchâmes un peu sur les hauteurs de la vallée de l’Ondaine. Moult fleurs, moult nuances de couleurs, la nature printanière a su profiter d’une saison fort pluvieuse.

Dans l’après-midi, le temps s’est gâté et nous en profitâmes pour visiter deux expositions au musée d’Art Moderne de Saint-Étienne : l’une consacrée à Pierrette Bloch (1928-2017), l’autre au travail de Charlotte Moth.


Ce jeudi matin, je suis parti courir autour de la retenue d’eau de Cotatay. J’y ai croisé un chevreuil qui se désaltérait dans l’un des affluents du petit lac. Le coin est tranquille et je suis surpris, à chaque fois, de n’y croiser quasi personne. Le temps était couvert, mais la pluie n’est pas tombée.

Dans l’après-midi, nous avons tenté une balade sur les hauteurs de la ville mais, pas de chance, nous dûmes faire demi-tour à cause de travaux dans les bois. Nous nous rabattîmes donc sur une vallée moins accueillante : assez encaissée mais où les maisons se succèdent les unes après les autres le long d’un cours d’eau.


Sur la route du retour, nous pique-niquons sur la rive du lac de Villefort. Il a suffi de 150km pour que nous changions de saison. Le temps s’est dégagé et nous arrivons à destination dans le Gard avec, ce vendredi, plus d’une vingtaine de degrés.


!

J’ai terminé le dernier roman de Nathalie Azoulai, Toutes les vies de Théo. Je vous propose cette phrase, tirée de l’une des toutes dernières pages du roman, qui en résume bien la teneur :

Il regretta que l’altérité soit une chose si belle et si compliquée.

J’entame désormais ma lecture suivante : Le pays des autres, de Leïla Slimani.

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