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Les trains d’antan, mémoire du Gard

Dans les années trente le réseau ferré français comptait pas moins de 62 000 kilomètres de voies. Aujourd’hui, moins de la moitié des kilomètres est exploitée. Les petites lignes (pour les « trains de campagne ») ont laissé la place aux lignes à grandes vitesse.

En arrière plan on aperçoit la tour « Saint-Jean » (ou parfois appelée Saint-Louis) fut le point névralgique des fortifications du XVIIe siècle face aux vallées cévenoles.

Ainsi sur la commune de Saint-Hippolyte-du-Fort c’est en 1970 que fut stoppé le trafic des trains avec voyageurs ( ligne Nîmes – Sommières – Le Vigan). Quelques trains de marchandise continuèrent de circuler jusque dans les années 80 puis le réseau fut démantelé.

En arrière plan on aperçoit la tour « Saint-Jean » (ou parfois appelée Saint-Louis) fut le point névralgique des fortifications du XVIIe siècle face aux vallées cévenoles.

Le viaduc surplombe le fleuve du Vidourle. Aujourd’hui ce même viaduc a été réaménagé en voie verte. Piétons, cyclistes et autres engins non motorisés peuvent y circuler paisiblement.

Peu à peu l’ancien réseau ferré gardois est aménagé en « voie verte ». A ce jour (septembre 2020) la voie verte relie notamment le village de Saint-Hippolyte-du-Fort et la commune de  Quissac.

Pour en savoir plus sur l’ancien réseau ferré une personne passionnée et méticuleuse détaille précisément sur son site, vestige après vestige, le cheminement de l’ancienne voie ferrée, et donc notamment la jonction Sauve – Saint-Hippolyte-du-Fort.

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